Comme réponse, il me disait qu'il allait écrire un mot pour les prévenir de ce qu'il se passait surement. Je restais donc planté là à le regarder faire, entrain d'écrire quelque chose sur un bout de papier. Les mains poser le long de mon corps, je continuais de doucement me mordre l’intérieur de la joue en observant les jeunes hommes endormit. Les pauvres quand ils vont se réveiller, ils vont se demander ce qu'il s'est passer ! Enfin, ce n'est plus vraiment mon problème. Moi je sais désormais à peux prêt ce qu'il se passe et l'on m'aide donc bon... Pas que je sois égoïste, je veux surtout ne pas m'attirer d'ennuis. Je vais me reposer d'abord et je verrais bien pour aller voir d'autres personne après. J'avais envie d'aider ceux qui en avait besoin mais d'un coté comme toujours... J'avais peur donc... j'allais pas servir à grand chose. Je me répète certes mais je le pense si fort ! Je n'ai que ça à dire. Le regard qui traînait un peu partout dans le hall, je posais ensuite celui-ci aux portes derrière le roux. Le soleil...

Qui nous ferait du mal ? Je n'arrivais pas à y croire, on étaient donc très sensible au soleil maintenant ? Cela me dépassait. Même si je n'aimais pas tellement le soleil, cela me rendait triste de savoir que l'on ne pourra plus sortir en présence de lui. Je ne sortait certes pas souvent mais ça faisait du bien d'aller au soleil de temps en temps, maintenant ça ne sera plus possible... Chassant vite ses pensés négatives, je tournait ma tête vers Julian qui avait fini de faire ce qu'il avait à faire. Il s'approcha de nouveau de moi et m'annonça que l'on partait. Je le suivait alors sans rien dire après avoir répondu à sa question en bougeant négativement la tête. Il y avait donc du monde.. ? Cela faisait battre mon coeur encore plus vite qu'il y a quelques minutes de là. (post à l'esclarier du prochain étage)

Je n'était pas encore prêt pour voir du monde, ça c'est sur ! Puis lorsque l'on commençais à monter les escaliers, je crus que j'allais faire un malaise. Je n'avais vraiment pas envie qu'il sache que je sois un garçon. Je n'imaginais pas tellement sa réaction vu que je le connaissait pas. Mais je sentais que ça allait exploser. Je dramatise peut-être beaucoup mais j'avais une raison derrière tout cela. J'avais donc pris ma valise et la collait contre moi tandis que mon regard ne quittait pas le sol. On montait doucement les escaliers et je ne savais vraiment plus quoi faire. sois je fais mine de rentrer dans une chambre puis j'y ressort pour aller dans le couloir des garçons, sois... je pars tout de suite en courant, en disant que je peux me débrouiller tout seul mais là, il aura surement des doutes ou quelque chose comme ça non ? Rhaa ! Tout se basculais dans ma tête, de la sueur froide coulant le long de ma tempe.On allait atteindre le premier étage et visiblement, on était pas à l'étage des chambres donc... Je ne savais pas tellement ce que l'on allait faire.