Avec chance, l'héritier Marsh avait rapidement chercher ce qu'il cherchait. À cette heure matinal il n'avait croisé personne pouvant le surprendre avec si peu de vêtements. En jetant un coup d'oeil dans la salle d'eau, on pouvait immédiatement voir la manque d'intimité qu'elle offrait. Pour lui, aucun problème, aucun complexe. Il avait seulement hâte de voir ce que les autres en diraient, de voir la gêne chez les plus jeune ou plus pudique. Et Elric eu un sourire en imaginant surprendre Julian complètement nu. Le richissime vacancier déposa ses affaires près d'un lavabo, face à la douche qu'il avait choisi et fouilla sous l'armoire pour y trouver une grande serviette blanche. Habitué des hôtels, il fut content de savoir qu'au moins ce détail n'avait pas été négligé.
Il laissa glissé de ses épaule sa robe de chambre et entra sous une douche. L'eau chaude le revigora. Aujourd'hui, il n'avait pas à pensé au travail, à la paperasse, aux chiffres, au dépôt de banque, aux employés et aux problèmes. Il était en vacance... en vacance possiblement pour l'éternité. Il en eu un pincement au coeur. Quelques jours de congés c'était bien... mais après quelques temps, que ferait-il? Elric ne savait pas s'amuser, se détendre, se faire de véritables amis... Les employés qui l'admiraient ne comptaient pas. Il y avait toujours Travis, Jessy, Alicia... et même sa fiancé... Mais ils étaient plus comme des confrères du crimes. Avec une personne ordinaire, quelqu'un n'ayant jamais tué, quelqu'un n'ayant pas d'envie de grandeur, ni fraudeur ni voleur... Avec ces personnes, de quoi parleraient-il? Serait-il toujours obligé de gardé ce masque de gentil garçon, d'avoir des conversations vides comme avec Johanne? Comme lorsqu'il ne vivait pas, lorsqu'il était une marionnette dans les main de son père...
Le Marsh utilisa le shampoing et le savon qu'il trouva dans la douche et arrêta de rêvasser. Quand il eu fini, il se sécha, puis s'habilla devant un miroir. Alicia avait composé ses bagages avec principalement des vêtements de vacanciers mais pour son retour elle avait tout de même mit un costume. Maintenant qu'il savait qu'il n'y aurait probablement jamais de retour à la maison, il était libre de le porter quand il le voulait et aujourd'hui, c'était ce qu'il voulait. Le pantalon noir, la chemise impeccablement blanche, cravate rouge et veston noir. De même qu'il ajusta ses boutons de manchettes de même qu'il remit à son pouce la bague familiale.